Muerte del general

Publié le par anna.diego

                                                                  

   Hier, 10 décembre 2006, à 14h15, l'ex-dictateur Auguste Pinochet mourrait dans l'hopital militaire de Santiago. Sa mort éveilla des réactions trés controversées dans tout le pays. Les réactions du peuple chilien représentent la division d'opinion sur l'époque Pinochet.

    La moitié du pays réclame un enterrement national, comme ex-président, d'autres trouvent juste qu'il y ait un enterrement militaire et non nacional, et certains demandent qu'il n'y ait pas même d'hommage de l'armée. Le gouvernement de Bachelet a refusé les hommages nationaux au criminel, mais l'armée lui rendera les hommages d'ex-comandant en chef des forces armées. Bachelet, dont père et mére furent torturés dans un centre  en 1974, ( le père décéda suite aux tortures infligées), refusa fermement les hommages malgrès les fortes critiques d'une part du pays. " J'ai de la mémoire, je crois en la vérité, et j'aspire à la justice(..)" , declara la présidente.

A Santiago , et partout dans le pays, des milliers de gens sortirent fêter la mort du géneral . Dans la capitale, les manifestants se confrontèrent à la police, et les manifestations finirent en conflits. Même à Valdivia, ville natale du général, les habitants sortirent fêter la mort de Pinochet, et la police dut renoncer à contenir les manifestants. Beaucoup avaient un carton d'un disparu autour du coup, une photo d'Allende ou un drapeau comuniste à la main.

                 

Tandis que sur tout le territoire les gens buvaient à la mort du géneral, l'effet inverse fut tout aussi fort. Beaucoup le pleurent cette nuit, dans l'honteuse école militaire ouverte à tous pour la veillée funèbre. Le pays est prondément divisé aujourd'hui. Certains ont la conviction que l'histoire lui reconnaitra les hommage qu'on lui doit, d'autre assurent que le temps condamnera Pinochet. Les journaux locaux et nationaux montrent une quantitité absurde d'articles sentimentaliste sur la tristesse de la famille et des amis, en humanisant ainsi la mort de ce grand criminel;articles qui se partagent la une avec d'autres sur des témoignages condanant le difun.. En dehors du journal oficialiste, La Nación, où il est écrit sur la couverture en lettre majuscule NUNCA MAS, les autres préférèrent des photos de Pinochet avec un enfant , ou priant.

Les gens que l'on croise, nous parlent à peine du cas, certains rappellent tout ce que le général a fait pour le pays, et crient à l'ignominie de ceux qui festoient, d'autre se souviennent de la dictature, et fêtent l'amère victoire. Car si  le pays et le monde sont aujourd'hui soulagés d'un assassin, le général Auguste Pinochet est mort libre, de vieillesse, entouré de sa famille, sans souffrances et sans justice.  Si le géneral est mort, le besoin de reconnaissance et de justice brûle d'autant plus fort, et l'Histoire se doit de faire justice au milliers de victimes de la dictature injustifiable du général Pinochet. Cet évennement, loin de marquer la fin d'une époque, est sa réouverture nescessaire.  

 

Ayer, 10 de diciembre 2006, a las 14h15, el ex-dictador Augusto época Pinochet. Pinochet moría en el hospital militar de Santiago. Su muerte despertó reacciones muy controvertidas en todo el país. Las reacciones del pueblo chileno representan la división de opinión sobre la La mitad del país reclama un entierro nacional, como ex-presidente, otros encuentran justo que se la haga un entierro militar y no nacional, y algunos demandan que no haya siquiera homenaje de la armada. El gobierno de Bachelet rechazó los homenajes nacionales al criminal, pero la armada le dará los homenajes de ex comandante en jefe de la armada. Bachelet, cuyo padre y madre fueron torturados en un centro, ( el padre fallació tras las torturas infligidas), rechazó firmamente los homenajes pese a las fuertes críticas de una parte del país."Tengo memoria, creo en la verdad y aspiro a la justicia" declaró la Presidente.

En Santiago, y por todo el país, miles de gente salieron a festejar la muerte del general. En la capital, los manifestantes se enfrentaron a la policía, y la manifestación terminó en conflicto.Aún en Valdivia, ciudad natal del general los habitantes salieron a festejar la muerte de Pinochet, y la policía dubo renunciar en contener a los manifestantes. Muchos tenían una pancarta de un desaparecido colgada del cuello, una foto de Allende, o una bandera comunista en la mano.

 Mientras que en todo el territorio la gente brindaba a la muerte del general, el efecto inverso fue igual de fuerte. Esta noche, muchos lo lloran en la vergonzosa escuela militar abierta a todos para el velatorio. El país esta profundamente dividido hoy. Algunos tienen la convicción de que la historia le reconocerá los homenajes que se le debe, otros aseguran que el tiempo condenará a Pinochet. Los diarios regionales y nacionales muestran una cantidad absurda de artículos sentimentalistas sobre la tristesa de la familia,de los amigos y de los partidarios, humanisando de esa manera la muerte del gran criminal; articulos que se comparten " la Noticia" con otros sobre testimonios condenandos al difunto. Fuera del diario oficialista La Nación, donde está escrito sobre la tapa en letras mayúsculas NUNCA MAS, los otros períodicos prefirieron fotos del general con un niño, o rezando.

 

La gente que cruzamos nos habla a penas del caso, algunos recuerdan todo lo que el general hizo por el país, y gritan al ignominía de los que festejan, otros afirman que el país necesita olvido, y otros recuerdan la dictadura, y festejan la amarga victoria.Porque, si el país y el mundo estan hoy aliviados de un asesino, el general Augusto Pinochet murio libre, de vejez, rodeado por su familia, sin sufrimiento y sin justicia. Si el general esta muerto, la necesidad de reconocimiento y de justicia arde aún mas fuerte, y la Historia se debe de hacer justicia a las miles de victimas de la injustificable dictadura del general Augusto Pinochet. Este evento, lejos de marcar el fin de una época, es su reapertura necesaria.           

Publié dans Argentina-Chile

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Amigos....aqui é o Renan que deu carona para voces no Brasil...sentido Piraciba!<br /> Muito Lindo tudo isso!!!<br /> Um Grande Abraço
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